Catégorie Personnel
NOUVEL AN MMXXIV
By Jean-Claude on Jan 11th, 2024
À LA MÉMOIRE DE SIMONE FAÏF DÉCÉDÉE LE 23 DÉCEMBRE 2023
By Jean-Claude on Jan 7th, 2024
La peintre et dessinatrice française Simone Faïf (1942-2023) nous a quittés, rejoignant son mari, le grand sculpteur et architecte russe Garry Faïf (1942-2002). Leur œuvre perpétuera leur mémoire. Simone et Garry formaient un des couples mythiques d’artistes au XXème siècle.
NOUVEL AN MMXXIV
By Jean-Claude on Jan 2nd, 2024
NOUVEL AN MMXXIV
Nouvel an MMXXIV
By Jean-Claude on Jan 2nd, 2024
BONNE ANNÉE MMXXIV! BON NOËL ORTHODOXE!
By Jean-Claude on Déc 30th, 2023
Toutes mes pensées et souhaits des biens du corps, de l’âme et de l’esprit à tous les amis proches-lointains à l’Occident et à l’Orient pour Le Nouvel An MMXXIV et la Nativité du Christ!
Prions pour la paix, contre la guerre.
BONNE ET JOYEUSE FÊTE DE LA NATIVITÉ DU CHRIST!
С Рождеством Христовым!
FROHE WEIHNACHTEN!
Всем близким-далёким друзьям на Западе и на Востоке желаю всех бдаг тела, души и духа на Новый Год 2024 и на Рождество Христово!
Будем молиться за мир, против войны.
Καλήν εσπέραν
Καλήν εσπέραν άρχοντες,
αν είναι ορισμός σας,
Χριστού την θείαν Γέννησιν
να πω στ’ αρχοντικό σας.
Χριστός γεννάται σήμερον
εν Βηθλεέμ τη πόλει,
οι ουρανοί αγάλλονται
χαίρει η φύσις όλη.
Εν τω σπηλαίω τίκτεται,
εν φάτνη των αλόγων,
ο Βασιλεύς των ουρανών
και Ποιητής των όλων.
Πλήθος αγγέλων ψάλλουσι,
το Δόξα εν υψίστοις,
και τούτο άξιον εστί,
η των ποιμένων πίστις.
Εκ της Περσίας έρχονται
τρεις Μάγοι με τα δώρα,
άστρον λαμπρόν τους οδηγεί
χωρίς να λείψει η ώρα.
Φθάσαντες εις Ιερουσαλήμ
με πόθον ερωτώσι
πού εγεννήθη ο Χριστός
να πα’ να τον ευρώσι.
Δώστε κι εμάς τον κόπο μας,
ό,τι είναι ορισμός σας,
και ο Χριστός μας πάντοτε
να είναι βοηθός σας.
Εις έτη πολλά!
Коляд, коляд, коляда
У віконце загляда.
У різдвяну світлу нічку
Запали на радість свічку.
Коляду поклич до хати,
Щоб Ісуса привітати.
Люди добрі, колядуйте,
Сина Божого шануйте!
Friedrich Gottlieb Klopstock
Halleluja! die Zeit,
Bestimmt von Ewigkeit,
Die Zeit der Wonne und Jubel kam,
Da Gott des Menschen Leib annahm.
Sie, die auf ihn gestorben sind,
Wie seufzten sie, zu sehn das Kind,
Das Kind, das Gott und sterblich war.
Es kam. Da sang der Himmel Schar
Anbetung, Dank und Ruhm!
Heil dir und Gottes Ruh’,
Erlöst, o Mensch, wirst du.
Paul Claudel
Chant de marche de Noël (extrait)
Pour toi, ville de David et de Booz, ô Bethléem Ephrata,
Certes tu n’es pas la plus mince entre toutes les cités de Juda,
Puisqu’à ton flanc cette nuit doit naître le Sauveur des hommes !
Chacun est venu du plus loin t’apporter ce nom dont il se nomme.
Que de lumières dans tes rues! que de tapage et que d’affaires !
César Auguste aujourd’hui recense toute la terre.
L’Enfant Prodigue, qui traite le Mauvais Larron et les employés du Comput,
Se divertit chez le rôtisseur avec les joueuses de flûte.
Il y a un feu pour chacun, excepté pour le Roi du Ciel.
Pauvre Jésus, quand Tu Te présentes, il n’y a jamais de place à l’hôtel !
Joseph, avec l’humble Marie sur le petit âne, s’en va de porte en porte.
L’aubergiste, quand il voit cette femme enceinte, appelle au secours et main-forte !
Et refoule avec sa serviette sur le perron et sous la branche de sapin
Saint Joseph qui n’a point son auréole sur la tête, mais une vieille casquette en peau de lapin.
From Christmas Marching Song
As for you, city of David and Boaz, O Bethlehem Ephrata,
You are certainly not the slenderest of all the cities of Judah,
Since from your loins to-night the Saviour of all mankind shall spring.
They bring you this name of His naming, from the world’s ends travelling.
So many lights in the streets! What a noise and what a nuisance !
Caesar Augustus is holding to-day the Worldwide Census of Persons.
The Bad Thief and the counting-staff are guests of the Prodigal Son.
He’s with the girls from the flute-band, in the grill-room, having fun.
A fire is provided for everyone but the King of the Earth and Sky.
Poor Jesus, there isn’t a room to be had at the inn, whenever you try !
Joseph with Mary meek on her foal goes to one door after another.
The hotelier calls up the heavy squad when he sees the expectant mother,
And drives him down the steps by the fir, using his breadcrumb-duster.
The saint isn’t wearing his halo, but an ancient rabbit sou’wester.
traduction © Timothy Adès
Иосиф Бродский
РОЖДЕСТВЕНСКАЯ ЗВЕЗДА
В холодную пору, в местности, привычной скорей к жаре,
чем к холоду, к плоской поверхности более, чем к горе,
Младенец родился в пещере, чтоб мир спасти;
мело, как только в пустыне может зимой мести.
Ему все казалось огромным: грудь Матери, желтый пар
из воловьих ноздрей, волхвы – Бальтазар, Каспар,
Мельхиор; их подарки, втащенные сюда.
Он был всего лишь точкой. И точкой была Звезда.
Внимательно, не мигая, сквозь редкие облака,
на лежащего в яслях Ребенка издалека,
из глубины Вселенной, с другого ее конца,
Звезда смотрела в пещеру. И это был взгляд Отца.
1987
Iossif Brodsky
Par froidure, dans un lieu habitué plutôt à la chaleur
qu’au froid, aux surfaces planes plutôt qu’aux monts
un Enfant est né dans une grotte pour être le salut du monde;
le vent soufflait comme il souffle en hiver dans le désert.
Tout Lui semblait énorme, le sein de la Mère, la vapeur jaune
sortant des naseaux bovins, les mages – Balthazar, Gaspard
Melchior, leurs présents, ici amenés.
Il n’était qu’un point. Et un point était l’Étoile.
Attentivement, sans clignoter, au travers des rares nuages,
sur le Petit dans la crèche de loin,
des profondeurs de l’Univers, de son autre extrêmité,
l’ Étoile regardait la grotte et c’était le regard du Père
(traduction : Jean-Claude Marcadé)
BONNE FÊTE DE SAINT SPYRIDON
By Jean-Claude on Déc 25th, 2023
καλά Χριστούγεννα !
By Jean-Claude on Déc 23rd, 2023
Toutes mes pensées et souhaits des biens du corps, de l’âme et de l’esprit à tous les amis proches-lointains à l’Occident et à l’Orient pour Le Nouvel An MMXXIV et la Nativité du Christ!
Prions pour la paix, contre la guerre.
BONNE ET JOYEUSE FÊTE DE LA NATIVITÉ DU CHRIST!
καλά Χριστούγεννα !
С Рождеством Христовым!
З Різдвом Христовим !
FROHE WEIHNACHTEN!
Всем близким-далёким друзьям на Западе и на Востоке желаю всех бдаг тела, души и духа на Новый Год 2024 и на Рождество Христово!
Будем молиться за мир, против войны.
!
JE VOUDRAIS PARTAGER AVEC EUX CES VERS DE PÉGUY
ET UN EXTRAIT DU RÉCIT DES DERNIÈRES ANNÉES DU PREMIER GRAND PHILOSOPHE DU XXÈME SIÈCLE EDMUND HUSSERL
“
Chaque poutre du toit…
Chaque poutre du toit était comme un vousseau.
Et ce sang qui devait un jour sur le Calvaire
Tomber comme une ardente et tragique rosée
N’était dans cette heureuse et paisible misère
Qu’un filet transparent sous la lèvre rosée.
Sous le regard de l’âne et le regard du bœuf
Cet enfant reposait dans la pure lumière.
Et dans le jour doré de la vieille chaumière
S’éclairait son regard incroyablement neuf.
Et ces laborieux et ces deux gros fidèles
Possédaient cet enfant que nous n’avons pas eu.
Et ces industrieux et ces deux haridelles
Gardaient ce fils de Dieu que nous avons vendu.
Et les pauvres moutons eussent donné leur laine
Avant que nous n’eussions donné notre tunique.
Et ces deux gros pandours donnaient vraiment leur peine.
Et nous qu’avons-nous mis aux pieds du fils unique ?
Ainsi l’enfant dormait sous ce double museau,
Comme un prince du sang gardé par des nourrices.
Et ces amusements et ses jeunes caprices
Reposaient dans le creux de ce pauvre berceau.
L’âne ne savait pas par quel chemin de palmes
Un jour il porterait jusqu’en Jérusalem
Dans la foule à genoux et dans les matins calmes
L’enfant alors éclos aux murs de Bethléem…
EXTRAITS DES
Conversations avec Edmond Husserl (1931-1938)
CONVERSATIONS AVEC EDMOND HUSSERL (1931-1936)
Adelgundis Jaegerschmid, O. S. B.
Avant-propos du traducteur
-
Nous proposons ci-après la traduction du célèbre témoignage que la sœur bénédictine Adelgundis Jaegerschmid a publié en 1981 dans le no 199 de la revue Stimmen der Zeit(p. 48-58 et 129-138). Pour avoir été cités ici ou là, quelques extraits de cette chronique, en particulier quelques propos remarquables de Husserl, sont déjà connus des lecteurs francophones. Mais la présente traduction permet de les ressaisir dans ce qui fut leur contexte d’origine, à savoir la relation tout à fait exceptionnelle qui s’est nouée au fil des années entre Husserl et sœur Adelgundis et qui s’est développée finalement sous la forme d’une unique et vaste conversation où, au-delà des aspects strictement biographiques, c’est de la religion en général, de la foi chrétienne en particulier et de leur articulation avec la philosophie et la phénoménologie qu’il est constamment question.
Signalons qu’une traduction anglaise de ce texte a été publiée par Marcus Brainard sous le titre unique « Conversations with Edmund Husserl, 1931- 1938 » (in The New Yearbook for Phenomenology and Phenomenological Research, 1, 2001, p. 331-350)
Nous adressons nos remerciements à l’éditeur Herder pour nous avoir autorisé à publier cette traduction – et à Marguerite Léna sfx, pour sa relecture et ses suggestions.
Julien Farges
<1931> Nous parlons de la vie religieuse et de la vocation [Berufung] à une vie au sein d’un ordre. AJ : « Pour vivre la vie religieuse, il faut en avoir la vocation [berufen] ». – Husserl : « Mieux : il faut y avoir été appelé [gerufen]. Cela relève purement de la grâce. Je n’ai pas accès à cette sphère, bien que j’aie toujours été l’un des plus fervents chercheurs de Dieu depuis ma jeunesse. La science authentique est honnête et pure ; elle a l’avantage de la véritable humilité, et pourtant, elle a en même temps la capacité d’être critique et de faire des distinctions. De nos jours, le monde ne connaît plus la science véritable ; elle est tombée dans la spécialisation la plus étroite. C’était différent à notre époque. L’amphithéâtre était notre église et les professeurs étaient les prédicateurs ».
Husserl : « La science authentique rend désintéressé et bon. Au-jourd’hui, même les savants intégralement matérialistes ou naturalistes (les savants dans les sciences naturelles) peuvent consacrer leur vie à leur science, même les mathématiciens chez qui on ne trouve pas une once de foi. Dans ces conditions, la science est bonne même si elle ne conduit pas à la religion. D’un autre côté, pourtant, il est impossible de prétendre qu’une science conduisant ultimement à la religion et à Dieu ne soit pas une science authentique. »
En réponse à mon objection selon laquelle c’est précisément dans son objectivité (comme sacrement) que la liturgie s’accommode avec la phénoménologie, Husserl dit :
« L’erreur la plus dangereuse consiste à croire que c’est par la vérité objective que les erreurs subjectives doivent pouvoir être surmontées de la meilleure façon. Non, seul un subjectivisme plus poussé peut surmonter le subjectivisme, pour autant qu’on le prenne totalement au sérieux et qu’on ne se fasse pas d’illusions sur lui ».
Au moment de mon départ, nous parlâmes de l’Ancien et du Nouveau Testament. Il me montra son bureau, sur lequel se trouvait la Bible, et il me dit :
« Qui est encore capable de saisir l’Ancien Testament ? En ce moment, les prophètes Jérémie et Isaïe sont ceux que je préfère. À une époque, pendant ma jeunesse, je ne fus plus capable du tout de comprendre l’Ancien Testament. Il me paraissait si dépourvu de sens ; mais c’est loin d’être le cas, n’est-ce pas ? »
5 décembre 1933
« Voyez-vous, l’Église et la science ont le même but : Dieu. Les uns l’atteignent sur le chemin de l’adoration et de la caritas, les autres sur le chemin de la recherche spirituelle et d’une vie morale. Mais les deux voies sont menacées par le scepticisme et la sophistique, sous quelque forme que ce soit. Cela a conduit l’Église à se faire trop politique, trop enracinée ici-bas ; la science a sombré dans le matérialisme et dans un rationalisme sans fondement. Les conséquences s’en font sentir au- jourd’hui dans la distorsion et la mystification de tous les ordres quels qu’ils soient ».[…]
4 septembre 1935
Husserl : « L’honnêteté de l’intellect est à la philosophie ce que la probité du cœur est à la religion. Toute ma vie j’ai lutté, je me suis même battu, pour cette honnêteté et là où les autres étaient satisfaits depuis longtemps je n’ai cessé de continuer à me questionner et d’examiner si même un semblant de malhonnêteté ne persistait pas à l’arrière-plan. Tout mon travail, même aujourd’hui, ne consiste qu’à examiner et à inspecter encore et encore, car tout ce que j’avance n’est, après tout, que relatif. On doit avoir le courage d’admettre et de déclarer que quelque chose qu’on considérait encore vrai la veille mais dont on voit aujourd’hui que c’est une erreur, est bel et bien une erreur. Rien n’est absolu ici. Il m’est arrivé de dire cela, il y a de nombreuses années, à mon étudiant le père franciscain P. Il était très brillant et, philosophiquement, il suivait mes développements, quoique seule- ment jusqu’à un certain point. Mais il ne parvenait pas à trouver le courage de revenir en arrière et de reconnaître une erreur. La seule chose qui comptait pour lui, même en philosophie, c’était l’absolu. C’est là que nos chemins divergent.”
«Je regrette profondément (ici Husserl devint très sérieux et insistant, presque agité) d’être si mal compris. Personne ne m’a suivi depuis le grand bouleversement qui a eu lieu dans ma philosophie, depuis mon tournant intérieur. Quand les Recherches logiques ont paru en 1901, ce n’était que l’œuvre tout à fait modeste d’un débutant – et aujourd’hui, on juge Husserl à partir de ces Recherches logiques. Mais pendant de nombreuses années après leur parution, je ne savais pas bien où tout cela me menait. Je n’étais pas au clair sur moi-même, et pour mon malheur, tout le monde est resté bloqué sur ce livre. Mais ce n’était là qu’un chemin, fût-il un chemin nécessaire. Même Edith Stein ne m’a suivi que jusqu’en 1917… On va jusqu’à affirmer que j’en serais revenu à Kant. Voilà à quel point je ne suis pas compris ! Comme on a remarqué que ma phénoménologie était la seule philosophie ayant également des liens avec la scolastique, comme beaucoup de théologiens ont étudié mes Recherches logiques – mais malheureusement pas les ouvrages ultérieurs – on a prétendu que j’avais commencé par embrasser la religion avant de rechuter dans l’incroyance ! »[…]
« En dépit de tout, il m’est arrivé de croire – et aujourd’hui c’est plus qu’une croyance, aujourd’hui c’est un savoir – que c’est précisément ma phénoménologie, et elle seule, qui est la philosophie dont l’Église puisse faire usage, car elle converge avec le thomisme et étend la philosophie thomiste. Pourquoi l’Église tient-elle au thomisme avec tant de rigidité ? Si l’Église est vivante, alors elle doit poursuivre son développement aussi dans la phénoménologie. La Parole converge avec le thomisme et étend la philosophie thomiste. Pourquoi l’Église tient-elle au thomisme avec tant de rigidité ? Si l’Église est vivante, alors elle doit poursuivre son développement aussi dans la phénoménologie. La Parole de Dieu est toujours la même : elle est éternelle. Mais son interprétation philoso- phique est dépendante de personnes particulières, vivant à une cer- taine époque. Elle est donc relative. Songez-y : Thomas était précédé par Aristote, le grand païen ; il a construit sur sa base. Thomas était lui- même un esprit particulièrement brillant et productif, et c’est de façon autonome qu’il a poursuivi son travail. Mais rien n’est aussi stérile que le néo-thomisme (Husserl n’avait en particulier rien de bon à dire des néo-thomistes français). Il n’a que Thomas pour base et c’est pourquoi il finit par se pétrifier. Il faudra bien un jour que la philosophie catholique croisse au-delà de tout cela. »
21 avril 1936
Ce matin, alors que je revenais de l’Église comme d’habitude, Husserl vint à ma rencontre dans le jardin et me déclara : « Je me suis assis au soleil et j’ai lu le Nouveau Testament ». Il me montra alors l’exemplaire qui avait appartenu à Wolfgang, son fils qui était mort au combat. Avec un sourire, il ajouta : « Ainsi, j’ai été éclairé par un double soleil ».[•••]
[1936] « Ces derniers jours, j’ai reçu d’Amérique un journal dans lequel un Jésuite – donc l’un des vôtres, sœur Adelgundis – m’a présenté comme un philosophe chrétien. Je suis consterné par cette initiative précipitée et excessivement zélée, dont je ne savais rien. Comment peut-on faire une chose pareille sans me poser la question ?! Je ne suis pas un philosophe chrétien. S’il vous plaît, veillez à ce qu’après ma mort on ne me fasse pas passer pour tel. Je vous ai déjà souvent dit que ma philosophie, la phénoménologie, est censée n’être rien d’autre qu’un chemin, une méthode, destinée à montrer justement à ceux qui se sont éloignés du christianisme et des églises chrétiennes le chemin qui reconduit à Dieu ».[…]
A propos de l’auteur
Jean-Claude Marcadé, родился в селе Moscardès (Lanas), agrégé de l'Université, docteur ès lettres, directeur de recherche émérite au Centre national de la recherche scientifique (C.N.R.S). , председатель общества "Les Amis d'Antoine Pevsner", куратор выставок в музеях (Pougny, 1992-1993 в Париже и Берлинe ; Le Symbolisme russe, 1999-2000 в Мадриде, Барселоне, Бордо; Malévitch в Париже, 2003 ; Русский Париж.1910-1960, 2003-2004, в Петербурге, Вуппертале, Бордо ; La Russie à l'avant-garde- 1900-1935 в Брюсселе, 2005-2006 ; Malévitch в Барселоне, Билбао, 2006 ; Ланской в Москве, Петербурге, 2006; Родченко в Барселоне (2008).
Автор книг : Malévitch (1990); L'Avant-garde russe. 1907-1927 (1995, 2007); Calder (1996); Eisenstein, Dessins secrets (1998); Anna Staritsky (2000) ; Творчество Н.С. Лескова (2006); Nicolas de Staël. Peintures et dessins (2009)
Malévitch, Kiev, Rodovid, 2013 (en ukrainien); Malévitch, Écrits, t. I, Paris, Allia,2015; Malévitch, Paris, Hazan, 2016Rechercher un article
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